Je viens de lire sur le site de la Mairie de BIOT:
“INSTALLATION DE BORNES ESCAMOTABLES RUE SAINT SEBASTIEN
Pour plus de sécurité et de sérénité des habitants et des visiteurs, la barrière amovible de l’entrée du village sera remplacée par deux bornes escamotables plus modernes. Ces bornes seront utilisées lors des zones piétonnes en remplacement de la barrière.
Les travaux débuteront lundi 18 janvier pour une durée de 2 semaines, entre 9h00 et 17h00 sauf les mardis 19 et 26 janvier 2016 pour laisser l’accès au marché hebdomadaire. Ces travaux en demi-chaussée ne perturberont pas l’accès au village. Consciente de la gêne occasionnée pour les riverains, la municipalité de Biot vous remercie de votre aimable compréhension.”

  • Après l’interdiction de circulation en voiture rue Saint-Sébastien pendant les vacances de Noël-> la sérénité n’était pas de mise.. Voici que la municipalité envisage de bloquer l’accès aux villageois ? La concertation où est-elle ? Comment va fonctionner cette borne ?
  • Pour nos commerces de proximité plus d’accès en voiture pour les biotois,
  • Pour les villageois intra-muros (nous nous trouvons piégés par cette décision).
  • Pourtant chaque véhicule se trouve décoré d’un magnifique laisser passer offert par la municipalité mais qu’il a fallu demander à St. Philippe P.M. en fournissant tous les justificatifs ad’hoc.

-> Quid
Sachez que nous sommes (de nombreux villageois partagent la même colère à leur égard) exaspérés par ces méthodes sans aucun dialogue et  par ces agissements “autoritaires”…

Merci d’avance si vous pouvez intervenir sur ce dossier.

Bien à vous tous
Joël et Nicole Pradelli.


Jouez hautbois, résonnez musettes !
Tel un chant divin, de circonstance "Je n'ai rien à me reprocher" se glorifie Mme Debras, sur sa responsabilité lors du triste événement climatique qui a endeuillé notre ville. Le refrain sonne faux.

Lors du dernier CM, les biotois retiendront entre autres, son refus de débattre sur un sujet qui la met mal à l'aise, tout en avançant, sans retenue, avec un sourire narquois, qu'elle était chez elle "au sec".

Ces propos sont malséants et manquent de discernement, ajoutés une fois encore à un déni de démocratie, dont elle est coutumière.
A quand le recours au 49-3 par mme Debras ?

Affirmer en réunion publique, qu'elle était le 3 octobre attentive aux sites d'alerte, tout en affirmant, je cite :"jusqu'à 21h15, il n'y avait pas d'urgence" est incongru.
Mais en plus c'est un mensonge.

Une fois encore Mme Debras n'est pas à la hauteur de sa fonction. Elle est le mètre étalon, grâce auquel on mesure la taille de l'incompétence et de la fausseté.
Elle qui, jusqu'alors, n'en était pas pourvue, va désormais trainer comme une casserole, non seulement de n'avoir pas su faire preuve de responsabilité, mais d'essayer de gruger son monde.

Les vérités sont souvent bonnes à dire, ça remet les amnésiques dans l'axe.
Et de vérité, nous en manquons singulièrement sur ce drame.

Quant à l'actualité politique, je retiendrai son satisfecit des résultats à Biot, tout en se lamentant sur le vote "des électeurs de gauche, dont le choix n'a pas été fait de gaité de coeur". Nausée qu'elle partage avec ses colistiers, à n'en pas douter !

Caton



Nous pensons à ces personnes fauchées par l’obscurantisme et la barbarie, à ces familles endeuillées, à ces blessés qui luttent contre la mort.

Notre coeur est serré, et nous sommes en colère.

Le combat contre les terroristes doit être implacable.

Dans cette horreur, les paroles de la Marseillaise résonnent particulièrement.

Restons solidaires, tous ensemble, dans le pays des Droits de l’Homme, autour des valeurs de liberté, égalité et fraternité.

Jean-Pierre DERMIT

 


11:00   Alerte orange orages et pluies de Météo France pour les Alpes Maritimes

11:30   Antibes active sa cellule de crise, surveille les zones sensibles, prévient les établissements à risque

19:52   Alerte Rainpol (radar météo du Mont Vial)

20:00  Antibes, activation du plan communal de sauvegarde

21:00   Message Météo France APIC par SMS aux municipalités, Précipitations intenses/très intenses

21:15   Message Météo France APIC par SMS aux municipalités, Précipitations très intenses

21:20   Les vallons des Combes, des Horts et des Vignasses commencent à être en crues

22:00   La Brague déborde, les voiries ne sont pas fermées, les véhicules sont emportés par les flots déchaînés

22:15   Près de 100 hectares inondés, 3 morts et plus de 1000 foyers et entreprises sinistrés

23:07   Biot déclenche son plan communal de sauvegarde


 

 

PHOTO MAISON BRAGUELe 3 octobre 2015 des pluies diluviennes se sont abattues sur la Côte d’Azur.

Des personnes ont perdu la vie, d’autres ont eu leur maison dévastée, ne réalisant l’ampleur du phénomène que les pieds dans l’eau, sinistre sans précédant.
Plusieurs familles en deuil, 20 % de la population sinistrée entraîneront inévitablement un après dans la vie de la commune.

Oui, certains biotois ont décidé de porter plainte contre X pour mise en danger de la vie d’autrui ou homicide involontaire. Non pas,  comme d’aucuns le considèrent, comme une attaque  partisane contre la mairie et encore moins comme une récupération politique.

En tant qu’élus de l’opposition, nous considérons que la sécurité des personnes constitue la priorité absolue en cas de catastrophe naturelle et nous ne pouvons pas nous exonérer d’une analyse sur ce qui s’est passé.
NOUS VOULONS EVITER QU’UN TEL DRAME SE REPRODUISE : C’EST UNE OBLIGATION, UN DEVOIR.

Seul un retour d’expérience permettra d’améliorer les dispositifs de prévention.

Bien sûr, nous ne pourrions retenir de ce drame que ce formidable élan de solidarité envers les sinistrés, ce travail immense des associations et des anonymes qui, dès le lendemain des inondations, ont apporté une aide matérielle et une belle énergie, sans oublier des parents et leurs enfants venus au secours des biotois de leur propre initiative.

Bien sûr, nous pourrions nous contenter de savoir que depuis 2009 il existe sur Biot un plan communal de sauvegarde qui prévoit un dispositif de surveillance des cours d’eau en cas de fortes précipitations, que sur le terrain des hommes surveillent la montée des eaux, que la vidéo-protection constitue une aide précieuse pour donner des informations depuis le poste de commandement en mairie principale.

PONT MURATORE

Mais que constate-t-on ?
Des cours d’eau non curés, une passerelle arrachée au premier embâcle, un bassin des Combes qui ne remplit pas son rôle, les buses de l’autoroute qui accentuent les débordements, des automobilistes piégés sur les routes faute d’information, sans oublier un urbanisme qui, par exemple sur Sophia Antipolis, a décuplé les ruissellements sur le vallon de la Valmasque.

 

Viennent alors les questions :

  • Les dispositifs d’alerte ont-ils été exploités suffisamment en amont de la crue pour permettre aux biotois situés dans des zones à risque de préserver leurs biens autant que possible et surtout de se mettre en sécurité? Nous n’en sommes pas sûrs.
  • Le plan communal de sauvegarde n’a été déclenché qu’à 23h07 au moment de la décrue alors que :
    • les vallons des Combes, de la Valmasque, des Horts avaient déjà débordé et que la Brague était sortie de son lit,
    • Météo France avait émis une alerte orange dès 11h30 pour le département des Alpes-Maritimes,
    • dès 19h30, les radars Rainpol et Predict indiquaient que nous étions en présence d’un phénomène très intense avec des pluies diluviennes,
    • les sirènes n’ont pas été activées à temps et de ce fait de nombreux biotois ne se sont pas inquiétés. Le 6 novembre 2011, elles avaient sonné à quatre reprises et tout avait été fait alors pour sensibiliser la population à la culture du risque et aux bons gestes à adopter dans ce cas de figure.
    • Les pensionnaires du rez-de-chaussée de la maison de retraite Clos Saint Grégoire n’ont pas été montés à l’étage comme nos procédures l’imposaient.

On connait la suite…

Au-delà des satisfecit sur la gestion post-crise, NOUS VOULONS COMPRENDRE ET CONNAÎTRE LA VERITE.


 

C’est avec un réel plaisir que j’ai retrouvé de nombreux Biotois qui sont venus assister à cette rencontre festive. Il y avait d’ailleurs des musiciens qui centralisaient l’attention sur la liaison sociale folklorique. Il ne s’agissait donc pas d’une action structurée sur l’information de la population concernant la problématique du développement socio-économique de la commune. A moins que la gouvernance nous propose une Démocratie participative folklorique?  Ceci est une possibilité que l’on rencontre dans des créations plus larges comme les Conseils de Développement et de Proximité tel que celui de la Métropole de Nice. La population qui a d’autres préoccupations plus proches de se dégager de l’exploitation clairement défini par le Marxisme, oublie de façon paradoxale que l’opium moderne n’est plus seulement religieux.

En conclusion nous ne savons toujours pas ce que deviennent  les autres Conseils de Quartiers et surtout quels sont leurs besoins. Non pas “leurs idées” comme cela nous a été proposé lors de la création des Conseils de Quartier, mais leurs besoins. En effet il n’y rien de plus préconçue et antisociale qu’une idée concernant un choix qui n’a pas été largement débattu entre les tenants et la représentation. Les besoins ne sont pas forcément pris en compte dans des programmes et la réponse par une idée n’a rien de pragmatique pour verser dans le réactionnaire.
Je suis d’avis de mettre enfin la Démocratie Participative en musique. Celle de l’aménagement du territoire, espace qui appartient au peuple et que lui est prêt à partager. Ce qui n’a pas l’air d’être le cas de ceux qui détiennent les informations nécessaires aux bons choix.

Christian Dental


Le 27 juin dernier, la ville s’est vue décerner le prix départemental des ” Rubans du Patrimoine ” au titre de la restauration de l’église Sainte Marie-Madeleine. L’Association des Maires de France, la Fondation du Patrimoine et la Fédération Française du Bâtiment et la Caisse d’Epargne récompensent ainsi les communes,  qui se sont particulièrement distinguées dans l’amélioration du patrimoine bâti.
La commune de Biot s’est bien gardée de communiquer sur  l’attribution de ce prix et pour cause ! G.Debras maire actuelle de Biot, et adjointe à l’urbanisme sous le mandat de Monsieur Boucand a tout simplement laisser l’édifice à l’abandon, et il a fait l’objet d’un arrêté de fermeture de la part de la commission de sécurité. Il a fallu la détermination de notre équipe et la pugnacité de Nicole Pradelli pour rouvrir un chantier de vingt mois sous le contrôle de la DRAC .
Au passage, les 180 familles qui ont participé au financement via une souscription lancée avec le soutien de la Fondation du Patrimoine ont été oubliées. Elles n’ont pas été invitées à la remise du prix.Ce manque d’élégance n’honore pas une municipalité  manifestement peu soucieuse du patrimoine et de notre histoire
Les Elus de l’Opposition 
Restons forts pour Biot

“La sécurité est l’affaire de tous”, voilà un slogan qui devrait faire réfléchir la municipalité sur les responsabilités qui sont les siennes en la matière et la politique inverse qu’elle mène aujourd’hui en réduisant les effectifs de la police municipale.

Avec ses décisions de ne pas remplacer les agents en partance, on est loin des promesses de 2014 garantissant une qualité de vie de tous nos concitoyens : comment alors assurer avec des effectifs réduits une volonté de police de proximité et un développement des actions de prévention de la délinquance mais aussi de solidarité entre les habitants !

Par ailleurs, la commune qui s’est dotée en 2011 d’un outil performant que sont les caméras de vidéo protection, et qui « a démontré une nette efficacité opérationnelle» (site officiel de la ville) est aujourd’hui totalement délaissé. Le vœu d’optimiser cette vidéosurveillance sur la commune grâce à une localisation plus pertinente des caméras n’aura-t-il donc été qu’un vœu pieu ?

Qu’attend- donc la municipalité pour réagir et rassurer les quartiers ? Faudra t-il une hausse des vols et délits en tout genre sur la commune et qu’ils soient confrontés à la colère des victimes et à la demande croissante de sécurité de leurs administrés pour qu’enfin nos élus se sentent impliqués et appliquent une vraie politique de prévention et de sécurité ? »

Guillaume FORTUNE


Durant cette année passée, l’action du nouvel exécutif municipal se résume à mon sens, à : incohérence et inconsistance.

Certes, il est louable de laisser la majorité actuelle s’installer dans son mandat.
Mais que constatons nous ?

Globalement une certaine inexpérience et même une forme certaine d’amateurisme, des dysfonctionnements, voire, paraît-il, un malaise au sein de l’administration et des élus, qui ne sont que les reflets d’une gestion un peu incohérente et désordonnée (doux euphémisme…).

Il est admissible qu’une nouvelle majorité installe sa politique, mais il faut de la vraisemblance, et ne pas faire passer avant tout, comme c’est le cas manifestement, la volonté de changement à tout prix !

Un an plus tard nous avons la confirmation que la campagne de Debras était montée sur une opposition systématique sans programme.

A ce jour, la politique menée est une politique d’affichage et d’habillage, loin de l’approche globale et cohérente de l’équipe précédente, avec une politique de fond.

On peut accepter le changement. Toutefois, ce à quoi on doit s’opposer, c’est l’incohérence et l’inconsistance.

« Les hommes sont si simples et si faibles que celui qui veut tromper trouve toujours des dupes », écrivait Machiavel.
Je crains que cette illusion perdure durant cette mandature qui s’annonce vacillante.

Caton


Dans le cadre de la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des chances, les diagnostics ont été réalisés sous la compétence de la commission communale pour l’accessibilité des personnes handicapées (CCAH) présidée par Jean Pierre DERMIT Maire de Biot.

Le cabinet CYCLADES a été désigné après appel à candidatures, Ce diagnostic obligatoire avant janvier 2011 comporte trois étapes :

  • l’état des lieux
  • la description des travaux à réaliser
  • l’évaluation du coût des travaux
  • Cette mission réalisée, a abouti à l’établissement d’un rapport d’un montant de 410 000 € H.T.  et  remis au Maire début 2010.

Ce diagnostic toujours d’actualité, permet à la ville de programmer les travaux ciblés de mises en conformité pour l’accessibilité des personnes handicapées.

Pendant ce temps les travaux ont fleuri :

  • Notre Mairie Annexe a été conçue avec toutes les normes concernant tous les handicaps, et dont nous avons reçu le prix accessibilité décerné par l’A.P.F.en juin 2010.
  • Le complexe Pierre Operto répond aussi aux normes et la visite de l’Association des Paralysés de France en cours de travaux, n’a relevé aucune anomalie dans les aménagements..
  • La poste a été déplacée afin de répondre à l’accueil des personnes en situation de handicap.
  • Même rigueur pour la Médiathèque conçue et réalisée par notre équipe municipale et la CASA.

Lors du CM du 17 février 2015, Surprise !!!  l’adjoint aux travaux a annoncé le lancement de diagnostics des ERP !!! Pourquoi recommencer ce lourd travail déjà effectué qui va retarder les mises en conformité au détriment de l’accueil des personnes en situation de handicap ? Pourquoi engager de nouvelles dépenses, alors que le rapport existe et est en possession des services? Est-ce encore un effet d’annonce?

Nicole PRADELLI


Félicitations à Christophe COVRE et Frédéric PELISSIER , décorés par Mme le Maire, de la Médaille du travail honorant 20 années d’exercice au profit de la collectivité locale.

Notre quotidien a relaté une sympathique cérémonie à laquelle les élus de l’opposition n’ont pas eu ‘honneur d’être conviés…..

Il était pourtant de coutume d’honorer les récipiendaires en présence de tous les élus lors d’une cérémonie conviviale précédent le Conseil Municipal.

Chacun avait alors, la possibilité de féliciter les récipiendaires pour leur efficacité et leur dévouement au service de tous les Biotois.

Nicole PRADELLI


Toute ville socialisante affiche de généreux objectifs en matière de logements sociaux.
A Biot, nous sommes gâtés!
La modification n° 4 du PLU votée le 11 décembre 2014  autorise la construction de 600 logements sociaux d’ici 2025 et la municipalité est plus ambitieuse encore: elle a prévu  une zone de mise à l’étude dans le quartier des Soulières où les gourous de l’EPFR ( Etablissement Public Foncier Régional, filière de la Caisse des Dépôts ) sont entrés en action pour acheter des terrains et construire ainsi de nouveaux programmes.
Un véritable process vient donc s’engager pour densifier la commune et ce n’est qu’un début. La prochaine révision du PLU remettra à plat tout notre urbanisme.
Dire peut être adieu aux zones réservées aux pavillons. Dire peut être adieu à la réglementation actuelle limitant la hauteur des constructions.
Laissons de côté les graves erreurs urbaines commises dans les années 1960 à 1970 chez nos voisins, à Nice, Cannes la Bocca ou Vallauris. Elles nous laisseront pour des générations les stigmates de plusieurs cités pudiquement appelées “difficiles”, où le droit républicain ne s’exerce pratiquement plus. Feignons d’admettre pour le moment que la construction sociale actuelle, empreinte de “mixité sociale” et d’intégration dans des quartiers jusqu’ici épargnés, ne reproduiront pas les mêmes  travers.
Ne nous méprenons pas: nous ne sommes pas contre les logements sociaux et il est bien normal d’apporter une solution, dans un département où les loyers sont exorbitants, à ceux qui, à un moment de leur vie, ne peuvent se loger dans le parc locatif privé.
Mais avant d’entrer dans la spirale du bétonnage, ne faudrait-il pas revoir les conditions d’éligibilité de façon  régulière? Un logement attribué en début de carrière devient un droit à vie, sans contrôle ni regard sur l’évolution des ressources ou la composition de la famille.
Pourquoi la loi SRU durcie en 2013 par Cécile Duflot, alors Ministre du logement, a t-elle imposé brutalement un taux arbitraire de 25% de logements sociaux  sur les seules communes de plus de 3 500 habitants sans tenir compte des spécificités locales des territoires? Le besoin s’exprime partout, d’autant que la moitié de la population française vit dans des petites communes
Ne serait-il alors pas plus pertinent d’adapter l’offre et la demande?  Pourquoi construire à Biot 600 logements sociaux,  pour 68 familles biotoises sachant que la commune devra se doter d’équipements publics supplémentaires, comme des crèches, des écoles, des routes, et …des parkings! Alors des logements sociaux oui, mais sur des besoins réels  et non pas pollués au prix d’une idéologie. IL y va de l’identité de Biot.

Maurizio MARTIN