Chronique d’un sinistré biotois révolté

Jouez hautbois, résonnez musettes !
Tel un chant divin, de circonstance "Je n'ai rien à me reprocher" se glorifie Mme Debras, sur sa responsabilité lors du triste événement climatique qui a endeuillé notre ville. Le refrain sonne faux.

Lors du dernier CM, les biotois retiendront entre autres, son refus de débattre sur un sujet qui la met mal à l'aise, tout en avançant, sans retenue, avec un sourire narquois, qu'elle était chez elle "au sec".

Ces propos sont malséants et manquent de discernement, ajoutés une fois encore à un déni de démocratie, dont elle est coutumière.
A quand le recours au 49-3 par mme Debras ?

Affirmer en réunion publique, qu'elle était le 3 octobre attentive aux sites d'alerte, tout en affirmant, je cite :"jusqu'à 21h15, il n'y avait pas d'urgence" est incongru.
Mais en plus c'est un mensonge.

Une fois encore Mme Debras n'est pas à la hauteur de sa fonction. Elle est le mètre étalon, grâce auquel on mesure la taille de l'incompétence et de la fausseté.
Elle qui, jusqu'alors, n'en était pas pourvue, va désormais trainer comme une casserole, non seulement de n'avoir pas su faire preuve de responsabilité, mais d'essayer de gruger son monde.

Les vérités sont souvent bonnes à dire, ça remet les amnésiques dans l'axe.
Et de vérité, nous en manquons singulièrement sur ce drame.

Quant à l'actualité politique, je retiendrai son satisfecit des résultats à Biot, tout en se lamentant sur le vote "des électeurs de gauche, dont le choix n'a pas été fait de gaité de coeur". Nausée qu'elle partage avec ses colistiers, à n'en pas douter !

Caton