Un an déjà ou plus exactement, un an de trop.

Durant cette année passée, l’action du nouvel exécutif municipal se résume à mon sens, à : incohérence et inconsistance.

Certes, il est louable de laisser la majorité actuelle s’installer dans son mandat.
Mais que constatons nous ?

Globalement une certaine inexpérience et même une forme certaine d’amateurisme, des dysfonctionnements, voire, paraît-il, un malaise au sein de l’administration et des élus, qui ne sont que les reflets d’une gestion un peu incohérente et désordonnée (doux euphémisme…).

Il est admissible qu’une nouvelle majorité installe sa politique, mais il faut de la vraisemblance, et ne pas faire passer avant tout, comme c’est le cas manifestement, la volonté de changement à tout prix !

Un an plus tard nous avons la confirmation que la campagne de Debras était montée sur une opposition systématique sans programme.

A ce jour, la politique menée est une politique d’affichage et d’habillage, loin de l’approche globale et cohérente de l’équipe précédente, avec une politique de fond.

On peut accepter le changement. Toutefois, ce à quoi on doit s’opposer, c’est l’incohérence et l’inconsistance.

« Les hommes sont si simples et si faibles que celui qui veut tromper trouve toujours des dupes », écrivait Machiavel.
Je crains que cette illusion perdure durant cette mandature qui s’annonce vacillante.

Caton