Ils tournent le dos à la municipalité de Biot

Ils tournent le dos à la municipalité de Biot

Ils tournent le dos à la municipalité de Biot

“Biot, 1 an après”
Une facture et une fracture lourdes.

Que fait-on à Biot 1 an après les inondations ?
L’organisation de la manifestation des 7,8 et 9 octobre 2016 est une catastrophe : PERSONNE

Saviez-vous qu’il y avait des concerts ce week-end à Biot ?
Le premier soir de la manifestation, Madame DEBRAS n’a pas souhaité faire d’allocution pour lancer le concert de “son” “Biot 1 an après” : trop peu de monde ce soir là.

C’est donc une bénévole de l’Association Biot s’Honore qui a travaillé en partenariat avec la Mairie (gérant uniquement la partie artistique) qui a lancé le début des festivités.

Madame le Maire a attendu la 4ème représentation pour faire son allocution, là où elle a estimé être le plus entendue. Pour cause, beaucoup d’élus de sa liste étaient présents pour accueillir Ben Mazué, fils du premier adjoint qui était sur scène !

16 500 euros : c’est le coût global que la Mairie a dépensé pour “Biot 1 an après”, pour offrir tout au long de ce week-end :
– des ateliers pédagogiques sur les risques : vides
– une navette gratuite à disposition : vide
– un bilan de travail réalisé par la Mairie : une réédition du DICRIM (Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs) qui doit obligatoirement être réédité tous les 2 ans ALORS QUE LES TRAVAUX IMPORTANTS DE PREVENTION DES RISQUES MAJEURS N’ONT PAS ÉTÉ RÉALISÉS

Sur 147 717 euros de dons récoltés par le CCAS, seuls 100 000 ont été reversés. Le solde sera-t-il un jour distribué aux sinistrés ?

Sur 2 000 personnes (sinistrés et bénévoles confondus) contactées par la Mairie pour participer au pique-nique du dimanche, seules 150 étaient présentes dont quasi aucun sinistré.

DEVAIT-ON REELLEMENT FÊTER CE WEEK-END ?
Les Biotois ont répondu à la question.
La non-affluence est à l’image de l’insuccès de la politique des risques majeurs menée par Madame Debras : UN CUISANT ECHEC.

Certains font encore face à leur assureur, à leur banque, d’autres reconstruisent à peine une partie de leur maison : le traumatisme psychologique n’a pas disparu.

Ce qu’il manque aux Biotois c’est de l’action, des travaux, des soutiens, la volonté de tout mettre en oeuvre pour que cela ne se reproduise plus en un mot, de l’EFFICACITE, PAS DU VENT !

Ondine